dimanche 9 mars 2014

28 JANVIER 2014: CRIME ET CHATIMENT

BONJOUR MES AMI(E)S.... ceux et celles qui vont le devenir, ceux et celles qui le sont, ceux et celles qui le furent...

Il est 2h 15 et nous sommes le 28 JANVIER... la pluie qui flagellait l'asphalte depuis quelques temps a marqué un petit répit... le village est silencieux et on ressent une douce impression de paix et de sérénité devant la léthargie des hommes, des bêtes et des plantes...

Je ne sais pas quel temps il devait faire en 1955 mais il n'y'avait certainement pas beaucoup de soleil à Paris qui vit venir au monde l'un des plus cyniques hommes politiques de l'Hexagone... hargneux, hautain, arrogant, cet homme a fait de la France un tout petit pays à l'image de sa petite personne sans humour, sans générosité, sans... scrupules !... il s'agit comme vous l'avez deviné de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa...

Cette journée a vu partir par contre cet homme de grand talent que fut Dostoievski... J'ai découvert ce monsieur en 1965... j'étais en 6e et assez doué en tout sauf en matières mémorisables, j'avais raflé la plupart des premiers prix et à l'époque on offrait des livres de littérature en guise de prix et non des précis d'exégèse... parmi mes prix figurait "Crime et Châtiment" de Dostoievski... j'eus la mauvaise idée de le "passer" à Omar Bouzetine, un ami du village... il eut pour sa part la mauvaise idée de me raconter le livre en détail... ce qui fit que je n'ai plus trouvé de raison pour le lire... J'ai par la suite trouvé et acheté "l'idiot" et "les frères Karamazov" (à l'époque on trouvait autre chose que les livres de cuisine et de religion dans les librairies) mais je ne les ai pas lus entièrement. Je ne désespère pas, toutefois, de le faire...

Le 28 Janvier c'est aussi la journée du peuplier... bel arbre que cet arbre... surtout le peuplier blanc !... Il y'a deux ou trois ans seulement, à la sortie des gorges de "Palestro" à hauteur de la route qui mène vers Beni Khelifa, il y'avait une belle colonie de cet arbre, les pieds dans l'eau de l'Isser. j'aimais bien, au passage, laisser mon regard s'attarder sur les troncs tachetés et les feuillages qui jouaient une partition en vert et blanc au gré du vent...
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